mercoledì 9 aprile 2008

Verlaine: ariettes oubliées

Così almeno nessuno commenterà se almeno ho capito cosa è scritto.



L’ombre des arbres dans la rivière embrumée

Meurt comme de la fumée

Tandis qu’en l’air, parmi les ramures réelles,

Se plaignent les tourterelles.

Combien, ô voyageur, ce paysage blême

Te mira blême toi-même,

Et que tristes pleuraient dans les hautes feuillées

Tes espérances noyées !


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